Écrire des horreurs, mais pas que…

Oui, ce type a écrit des horreurs inacceptables, scandaleuses etc etc… Il a, par ailleurs, écrit ces quelques lignes qui me vont comme un gant par les temps qui courent… Ce sont les mots que je partage ici, pas le bonhomme:

« Le pire, c’est qu’on se demande comment le lendemain on trouvera assez de forces pour continuer à faire ce qu’on a fait la veille ? Ou on trouvera la force pour ces démarches imbéciles, ces mille projets qui n’aboutissent à rien, ces tentatives pour sortir de l’accablante nécessité, tentatives qui toujours avortent et toutes pour aller se convaincre une fois de plus que le destin est insurmontable, qu’il faut retomber en bas de la muraille chaque soir, sous l’angoisse de ce lendemain toujours plus précaire, toujours plus sordide ?… C’est l’âge aussi qui vient peut-être et nous menace du pire… On n’a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie…»

Même pas envie de dire de qui c’est…

One thought on “Écrire des horreurs, mais pas que…

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